Festival Piano is not dead 18 – 21 décembre
C’est avec un immense plaisir que je vous invite à venir découvrir mon nouveau piano de concert Stephen Paulelllo SP217. Celui-ci sera livré et présenté par son concepteur lors des concerts du 20 et 21 décembre prochain dans le cadre du festival Piano Is Not Dead au Tétris.
Venez découvrir la musicalité et toutes les innovations techniques de ce bijou !
Il existe une fabrique de pianos à queue très particulière : entre atelier et laboratoire, elle construit de manière tout à fait originale les instruments de Stephen Paulello. Depuis la fermeture de Pleyel il y a un an, c’est la dernière manufacture française de piano.
Les pianos Stephen Paulello sont plus que différents, ils sont à contre-courant. Depuis les choix de conception, les procédés de fabrication jusqu’à la stratégie de communication et de vente, tout déconcerte par son caractère iconoclaste et néanmoins lumineux. Stephen Paulello dit qu’en facture de piano tout a déjà été inventé, mais certaines directions ont été abandonnées avant d’avoir atteint leur aboutissement. Parmi toutes les expériences tentées au cours de l’histoire et qu’il a rencontrées en jouant ou en restaurant des centaines d’instruments, il a su analyser et choisir celles qui correspondait à son univers musical et sonore, sans se laisser influencer par le standard établi depuis le 19ème siècle par les plus grandes marques. L’originalité et la force de ce facteur est d’être avant tout pianiste (il est lauréat de prix internationaux). Chacune de ses options techniques traduit sa vision de la musique, de l’épanouissement du son et du jeu pianistique. Le propos musical doit être lisible et jamais vulgaire, la sonorité façonnable et métamorphosable à l’extrême, le toucher sensuel et obéissant.
Pour obtenir cela, Stephen Paulello s’appuie sur une structure monobloc fraisée numériquement, supprime les barres de table d’harmonie, remplace les pointes de chevalet par un système de fixation des cordes par agrafe, panache plusieurs types de fils d’acier au sein du cordage.
Pendant le festival, les artistes auront le privilège de jouer sur le tout dernier instrument fraichement sorti des ateliers : un demi-queue de 2,17 m. Le clavier est en ivoire et les placages d’érable moucheté sont vernis au tampon.